Mes auto-remèdes contre la grippe et les rhumes

Huiles essentielles contre la grippe
Lorsque j'attrape une grippe ou un rhume, je ne recours pas au traitements médicaux occidentaux, pas plus que je ne me fais vacciner. D'abord, parce qu'ils sont inefficaces sur moi, ensuite parce qu'on ne sait pas trop ce que l'on ingurgite. Enfin et surtout parce que le bon sens et les Huiles essentielles donnent sur ma personne d'excellents résultats. Rappelons au passage que le rhume et la grippe sont des infections virales contre lesquelles les antibiotiques n'ont aucune efficacité.

D'abord se protéger (et protéger les autres)
La première précaution consiste à se prémunir des attaque du froid et de l'humidité. Donc, rester au chaud, ne pas sortir de chez soi, se couvrir, dormir beaucoup ou au moins se reposer au lit le plus souvent possible. Il faut que le corps utilise son énergie à réagir contre l'attaque et que celle-ci ne se disperse pas en efforts inutiles. Comble des précautions, je ressors même mes chaussettes dans ce cas, et renonce à me promener pieds nus.
De plus, mieux vaut s'isoler pour éviter de contaminer les autres. Aller travailler, prendre le bus ou le métro avec ce genre de maladie assure la diffusion de l'épidémie. En shiatsu, de toute façon, on ne reçoit pas ses clients lorsque votre propre énergie s'avère défaillante. Mais, sauf si vous détestez votre employeur, vos collègues ou votre belle-mère, interdisez-vous de les côtoyer au cours de cette période. C'est le plus grand service à leur rendre. D'autant qu'à Paris, rester chez soi évite les affres de la pollution. Pollution parisienne qui ne fera qu'aggraver les troubles respiratoires.
Dans la même lignée, il faut faire preuve d'une hygiène stricte. Non seulement se laver les mains, mais prendre des douches, au moins une par jour, pour débarrasser la peau des sources d'infection.

Les Huiles Essentielles
Elles limitent les effets de la maladie et raccourcissent sa durée. 
- D'abord, le matin et à midi, je mets une goutte de Ravensara derrière chaque oreille, une derrière la nuque, avant de me frotter les mains pour ne rien perdre des effets extraordinaires de cet anti-viral naturel. On peut aussi l'utiliser en prévention une fois par jour, le matin. Par contre, j'évite de m'en servir le soir, compte tenu de ses effets positivants, qui peuvent freiner l'endormissement.
- Ensuite, si mes voies respiratoires sont encombrées, je me frictionne la poitrine avec de l'Eucalyptus globulus. Excellent pour faciliter la respiration. J'en verse aussi une goutte ou deux sur mon oreiller pour ne pas laisser troubler mon sommeil par des toux ou des écoulements nasaux.
- La diffusion alternative de Pin sylvestre, qui a le mérite d'être discret, et d'Eucalyptus radiata, fait le reste. Le matin, c'est plutôt le Pin, et l'après-midi, l'Eucalyptus radiata. Ne me demandez pas pourquoi, j'ai pris cette habitude. Vous pouvez tout aussi bien faire l'inverse.
Ainsi se résume mon traitement de base. Mais, il m'arrive parfois aussi d'expérimenter le Thym à thimol  et le Cyprès pour éviter les complications liées aux infections virales.
Pour finir, en fin de maladie, quelques gouttes de Sarriette sur la langue pendant deux ou trois jours sur la langue, donnent un coup de fouet matinal et réactivent l'énergie.

En complément : bien se nourrir !
D'abord, au cours de l'infection, il faut beaucoup boire. Comme je transpire beaucoup, il me faut me réhydrater en permanence.
Les infusions de thym aident grandement à combattre les infections. Une à midi, une le soir.
Il faut aussi absorber des légumes énergétiques, lentilles, épinards, par exemple. Ils stimuleront l'organisme. Et éviter les repas trop lourds car, rappelons-le, toute l'énergie, le ki, doit se polariser sur la guérison et non sur la digestion.
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